Anthropologue, professeure à l’Universidad Complutense de Madrid, membre de l’Instituto de Investigaciones Feministas et du Grupo de Estudios sobre Migraciones Internacionales, chargée de cours à l’Universidad Autónoma de Puebla au Mexique, notamment.
Les femmes centro-américaines, pour atteindre les États-Unis, s’inscrivent dans des régimes de mobilité néolibéraux qui construisent et légitiment des catégories d’appartenance et d’altérité, renforçant les inégalités et la stratification globale. Comme (...)
Le parcours des femmes migrantes a ceci de spécifique qu’il s’articule à un régime de mobilité qui produit et reproduit les hiérarchies et les rapports de pouvoir liés au genre. Et qui s’exprime notamment par la violence sexuelle dont elles sont l’objet, (...)