La prise en compte du problème de la violence contre les femmes progresse lentement au sein des instances nationales et internationales, sous l’impulsion du mouvement féministe. La responsabilité de l’État dans le maintien des structures qui favorisent cette violence est mise en exergue dans les discours universitaires et militants. Les discriminations de race et de classe concourent à l’intensité de la violence et conditionnent les réponses de l’État.
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