On assiste à une expansion dynamique des entreprises marocaines sur le continent africain. Le phénomène est soutenu par des facteurs non économiques – volontarisme diplomatique royal, affinités institutionnelles, linguistiques ou religieuses –, dont il s’agit de mieux cerner l’influence respective. À l’heure d’une politique étrangère pragmatique, l’investissement sert d’instrument de projection stratégique autant que de levier de croissance.
Cet article a été publié dans notre publication trimestrielle Alternatives Sud
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