Pour François Polet, « dans les pays européens, on assiste non seulement à une baisse des montants de l’aide, mais aussi à une réforme des politiques de la coopération au développement qui vise à un retour sur investissement le plus direct possible pour les pays donateurs. Dans cette logique que nous dénonçons, notre aide au développement doit d’abord nous servir nous, nos entreprises et nos gains géopolitiques les plus directs. Les intérêts des pays bénéficiaires, les enjeux de démocratie et de développement social inclusif passent alors au second plan ».
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