Élu à une forte majorité, Rodrigo Duterte a d’abord bénéficié d’une lune de miel avec la gauche philippine. Mais, assez vite, cette dernière s’est opposée à la politique gouvernementale, à la guerre contre la drogue et aux mesures économiques, dénoncées comme une stratégie anti-pauvres. Pour autant, Duterte demeure populaire, et les organisations de gauche se sont montrées incapables d’offrir une alternative.
This article was published in our quarterly publication Alternatives Sud
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