Frédéric Thomas analyse ces sanctions contre l’ancien président haïtien Joseph Michel Martelly (2011 - 2016) et contre deux anciens Premiers ministres, Laurent Lamothe et Jean Henry Céant, comme un signal très positif, qui met cependant en évidence les limites, l’incohérence et les contradictions de la diplomatie internationale.
A réécouter sur CPAM 1410 :