Les pays africains se sont tardivement investis dans l’agenda international du climat. Ils se coordonnent désormais sous la bannière de la justice climatique. Bien qu’elle fasse de plus en plus parler d’elle lors des COP, la diplomatie africaine n’arrive pas à peser véritablement sur les négociations et leurs issues. Au-delà de la question des moyens institutionnels, sa faiblesse reflète la reproduction des asymétries Nord-Sud dans l’arène climatique.
Cet article a été publié dans notre publication trimestrielle Alternatives Sud
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