Plusieurs initiatives ont été prises par les autorités congolaises pour corriger les déséquilibres dans les partenariats entre les multinationales minières et l’État national. Dans la pratique, la contribution des mines au budget du pays et à son développement demeure limitée par le mode de gestion publique du secteur. Les « tshisekedistes » ont remplacé les « kabilistes », mais la gouvernance dominée par la corruption et la prédation continue.
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