Depuis 2018, l’écrasement des contestations par le régime Ortega, puis l’emprisonnement ou le harcèlement de toute forme d’opposition, ajoutés aux effets de la crise sociale, ont fait exploser le taux d’émigration nicaraguayenne. Et jeté sur les routes de l’exil, pour la seule année 2021, plus de 100 000 Nicaraguayen·nes. Vers le Costa Rica voisin bien sûr, mais aussi vers les États-Unis, en quête du droit d’asile et d’un travail rémunérateur.
This article was published in our quarterly publication Alternatives Sud
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