Les rapports complexes entre gouvernement et mouvements sociaux s’opèrent en Bolivie sur fond d’actualisation de deux traditions héritées de l’histoire des luttes : la tradition « nationale-populaire » d’une part, la tradition « indigène-communautaire » de l’autre. Le tout dans un contexte de polarisation sociale et régionale aiguë. Exceptionnelle, l’expérience émancipatrice bolivienne doit composer avec d’importants dilemmes.
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Evo ou l’articulation du « communautaire-indigène » au « national-populaire »
Maristella Svampa | PDF - 98.5 ko |
Cet article a été publié dans notre publication trimestrielle Alternatives Sud