Ce dimanche, des élections générales auront lieu au Nicaragua, mais le président Daniel Ortega, qui avait jadis mené la révolution sandiniste contre la dictature de Somoza, les a transformées en une coquille vide de sens. Deux semaines plus tard, ce sont les Chiliens qui éliront leur prochain président. Et là, plus de 30 ans après le départ du général Pinochet, on assiste, dans un contexte qui reste compliqué, à une vigoureuse empoignade entre un jeune candidat de gauche et un représentant de l’extrême droite.
Lire la suite du dossier de Véronique Kiesel (Le Soir), avec les analyses de Bernard Duterme (CETRI) et Christophe Ventura (IRIS).