Le récent G7 et ses promesses de vaccins aux pays pauvres démontrent que les pays riches demeurent dans une logique d’« aide » inadaptée aux enjeux du 21e siècle. Le concept d’« investissement public global » suppose un renversement de logique : que tous les pays financent à hauteur de leurs moyens un ensemble de biens public mondiaux (climat, santé publique, réduction de la pauvreté, etc.) dont la prise en charge bénéficie à tous, en fonction des besoins de chacun. Un changement à la fois juste et vital.
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