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Congo RDC : entre reproduction des prédations et renouvellement des résistances

Webinaire organisé le 17 octobre par le CETRI à l’occasion de la publication de Congo (RDC) : reproduction des prédations (collection Alternatives Sud). Avec Albert Malukisa, Clémentine Sangana, Bienvenu Matumo, Géraud Neema Byamungu et François Polet (coordinateur de l’ouvrage).

Malgré l’espoir un temps incarné par la présidence Tshisekedi, les mécanismes de la prédation s’avèrent bien ancrés au Congo-Kinshasa. Prédation externe, liée aux convoitises étrangères pour les ressources naturelles dont regorge le pays. Prédation interne, liée à la voracité de l’oligarchie politique pour les ressources de l’État… et de la population. Au-delà de la violence armée à l’Est, ces facteurs nourrissent une violence sociale et politique ordinaire. Mais ce constat n’est-il pas trop sombre ? Dans quelle mesure le lancement de nouvelles politiques publiques, les changements géopolitiques et le renouvellement des formes de résistance populaire et citoyenne autorisent-ils à le nuancer ?

Pour répondre à ces questions, quatre contributeur·rices à cette livraison d’Alternatives Sud ont partagé leurs analyses :

  Albert Malukisa, économiste du développement, professeur à l’Université catholique du Congo et chercheur associé à l’Institut des politiques de développement (IOB) de l’Université d’Anvers.

  Clémentine Sangana, professeure de sociologie à l’Université de Kinshasa, experte à ONU Femmes, membre du Réseau des chercheur·euses sur le genre en RDC.

  Bienvenu Matumo, militant de la Lucha, doctorant en géographie sociale et politique à l’Université de Paris-8.

  Géraud Neema Byamungu, analyste des relations sino-africaines, éditeur francophone du « China Africa Project ».

  François Polet (CETRI), qui a coordonné Congo (RDC) : reproduction des prédations, animait la discussion.


Les opinions exprimées et les arguments avancés dans cet article demeurent l'entière responsabilité de l'auteur-e et ne reflètent pas nécessairement ceux du CETRI.