Bien loin des conceptions occidentales de la démocratisation, la société civile afghane est mue par des intérêts à caractère ethnique et local, davantage que par des enjeux « politiques ». Ses rapports avec l’État sont du registre de la distance et de la négociation. Quant aux associations créées depuis 2001 à Kaboul, elles sautent d’un projet à l’autre… au gré des bailleurs. Et pourtant l’Afghanistan n’est pas vide de mobilisations populaires.
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Cet article a été publié dans notre publication trimestrielle Alternatives Sud