A 50 años del sangriento golpe de Estado que puso fin al gobierno de la Unidad Popular, el pensamiento de Allende y su idea de una « vía democrática al socialismo » resurgen para pensar nuestro presente. Nos recuerdan que sin democracia no hay (...)
Franck Gaudichaud est spécialiste des mouvements sociaux au Chili et en Amérique latine. À 50 ans du coup d’État marquant le début de la dictature de Pinochet, la revue L’Anticapitaliste l’a interrogé sur le bilan qu’il tire des événements que traverse (...)
Dans le monde d’aujourd’hui – au Nord comme au Sud –, beaucoup de citoyens qui auraient pourtant intérêt à adhérer au projet socialiste ne lui font plus confiance, ne votent plus pour lui et le laissent mourir, alors que les partis populistes les (...)
La investidura de Xiomara Castro en Honduras generó un gran entusiasmo popular y puso fin de las derivas autoritarias que siguieron al golpe de Estado de 2009. Su discurso de cambio alimenta múltiples esperanzas. No obstante, como muestra la (...)
Derrière la dénonciation de l’extractivisme en Amérique latine se dissimulerait une forme de radicalité chic, paradoxalement compatible avec l’idéologie néolibérale. Telle est la thèse d’un article du Monde diplomatique de juillet dernier. À l’encontre (...)
Souvent assimilé aux pouvoirs de gauche qui ont marqué les quinze premières années du 21e siècle en Amérique latine, le gouvernement nicaraguayen de Daniel Ortega n’en garde pourtant plus que l’étiquette et une certaine rhétorique. Qu’est donc devenu le (...)
L’ancien leader révolutionnaire Daniel Ortega est sur le point d’entamer une troisième décennie à la tête du Nicaragua. S’il se revendique toujours du « sandinisme » historique, il n’en a gardé que le nom et une certaine rhétorique, pour tourner le dos au (...)
Les Nicaraguayens éliront leur président le 6 novembre prochain. Après deux décennies à la tête du pays, le dirigeant sandiniste Daniel Ortega pourrait remporter un quatrième mandat. Mais sa politique, qu’il présente toujours comme « socialiste » et « (...)
Desde fines de los años 90, América Latina viene transitando lo que a falta de términos más precisos se ha definido como pos-neoliberalismo, y que el presidente ecuatoriano Rafael Correa denominó “cambio de época”. Se trata, sin duda, de una variedad (...)
The era of U.S.-sponsored, direct interventions in the affairs of Latin America appears to have ended, with the U.S. instead retreating to an attempt at domination via the “dollar diplomacy” of institutions like the International Monetary Fund. (...)